Les espagnols, en plus d'avoir pillé et asservis politiquement, socialement et culturellement l'Amérique Latine, a dépossédé des noms indiens certains des plus beaux lieux du monde, leurs affublant des noms religieux mais parfois aussi poétiques (à la limite de la grandiloquence) qui la plupart du temps donnent plus envie de rire que de méditer (ce à quoi invitait le plus souvent les noms Mapuche, Guaranis, Quechua et autres).
J'ai donc visité entre autres, dans le nord de l'Argentine, "port espérance", sur les bords du fleuve Parana, 5 rues, 2 épiceries et des bandes de jeunes qui zonaient et dont apparament la seule espérance était de se tirer rapidement et un port inateignable, ni en voiture, ni a pieds en raisons des fortes pluies, monnaie courante dans la région. Dix kilomètres au Sud, se trouve le joli village de "port liberté", avec son unique embarcadère et ses deux seules lignes de bus qui passent par là pour le desservir. La "Gorge du Diable", merveille des merveilles (une des premières relations mystiques que nous avons eu, la nature et moi, jusqu'au fond des mes tripes), elle, mérite bien son nom, parce quand t'es au dessus du gouffre t'as qu'une envie, c'est de t'y jeter. Dégustez plutôt:

Mais bon là tout ça c'est déjà un peu vieux (2 mois, quand il fesait encore chaud!), je suis ensuite retournée terminer mon stage dans la ville de "Sainte Marie des Bons Aires", ça:

ou ça, http://i261.photobucket.com/albums/ii61/leito1979ar/momentos/100_1669.jpg
lors des trois semaines où, à cause des feux des paysans de la province du Nord qu'ils ne contrôlait plus, on ne voyaient pas à 200 mètres en raison d'une épaisse fumée. Les touristes ont du croire qu'on se foutait de leur gueule et les potenos n'ont pas dit grand choses parce que pour une fois Kristina, on en est sûr, n'était pas dans le coup.
Je vous met juste le lien parce que je n'ai pas les droits!
Et pourtant c'est bien à regret que j'ai quitté Buenos Aires, il y a une petite semaine déjà. J'ai laissé derrière moi mes amis, mes amours et mes emmerdes comme dit la chanson, une petite vie quoi. Et ça fait tout drôle, j'ai pas encore bien bien réalisé je crois. Ce peuple à la fois très fier et orgueilleux tout en étant très peu sur de lui et de son avenir et dont, je vous contait il y a quelques mois mon amour, va me manquer.
Mon départ à été, je pense, facilité par la promesse solennelle de mon retour une fois mes études finies. Les gens m'ont donc dit: "Hasta luego companera, que te vayas bien, suerte, nuestra lucha sigue aca, y ahora en Francia" (Au revoir compagnonne, bonne chance, notre lutte continue ici et maintenant, en France). J'ai promis, sans faire de vague (je commence à m'habituer à pas trop en faire face à la détermination des argentins), de faire bien attention aux chiliens qui, pour une raison que personne ne connaît exactement, seraient dangereux. Rien que ça! J'ai pas vraiment bronché parce que je sais que cette croyance n'est que le résultat de décennies de propagande contre le pays voisin de chaque côté des Andes de la part des deux gouvernements pour exacerber le sentiment nationaliste.
Le seul truc un peu dur à été de quitter l'hôtel BAUEN. Pour Chilavert, le petit atelier d'imprimerie où j'ai travaillé pendant un an, pas trop de soucis, je sais que quand je reviendrai sonner, on m'ouvrira comme on m'a ouvert tout au long de l'année. Au BAUEN, c'est pas vraiment la même, quand je suis venu dire au revoir, on m'a dit que dans l'aprèm était arrivé l'ordre de délogement, ils ont dix jours pour quitter l'hôtel, de gré ou de force. Retour à la même situation qu'il y a un an, quand je suis arrivée, sauf que là, plus de possibilité d'appel en justice. (Cf post "el B.A.U.E.N. es de todos" d'août 2007). Mais bon je maintient le contact, jusque là rien d'anormal, le jour J est dans 4 jours.
Malgré ça, malgré les amis et la vie que je laisse là bas, je suis partie pour le Chili, m'embarquer dans une nouvelle aventure. Dans la ville de "Val du paradis" dont je ne connaissait rien avant d'arriver de Santiago en bus.
Valparaiso est une petite ville coincée entre un port de pêche en pleine industrialisation et des collines pleines de petites maisons colorées. C'est une des villes patrimoine mondial de l'humanité et lieux de rencontre de la bohème culturelle, artistique et activiste du Chili. Mais ici, l'idée de bobo n'existe pas (sauf peut être un peu sur la "colline joyeuse"), les petites maison collées aux collines ("colline du papillon, colline de l'espérence, colline du baron,...") sont faîtes de bric et de broc et paraissent mal supporter l'hiver qui est bien rude cette année. Je me suis installée dans un grand appart, juste au dessus de la place Équateur, centre des allées et venues nocturnes de la Bohème de Valpo. Il abrite trois autres personnes, un atelier de peinture, un de sérigraphie et les deux Mac imposants de la dessinatrice graphique et du développeur de projets d'énergie alternative qui vivent ici. Je me demandait bien pourquoi il caillait tant que ça dans ma chambre, les mouvements des rideaux m'ont indiqués la fenêtre cassée et jamais réparée, il va falloir s'habituer.
Les habitants de Valpo, sont de plus en plus pauvres à mesure que l'on monte dans la colline. C'est la ville la plus pauvre et avec le plus haut taux de chômage du Chili.
Mon stage consiste en bref, en l'organisation du Forum Mondial du Savoir Appliqué, qui aura lieux du 21 au 24 juillet à Valpo. L'idée est de faire venir des gens pour croiser des projets aussi bien d'énergie alternative, d'ingénierie de l'autogestion, de coopérativisme, de droit alternatif, éducation autonome et médias alternatifs...pour qu'ils puissent être appliqués directement aux populations des collines dans le but final de monter une commune autonome. Pour plus d'info (un peu de pub n'a jamais fais de mal à personne, surtout pour un projet aussi simpas!) je vous invite à faire un tour sur le site, fraîchement traduit en français et à diffuser: foromundial.ulibre.org
J'ai donc été reçu à la gare par Jaime Yovanovic, alias el profesor J et accessoirement mon responsable de stage. Sa bio est impressionnante, il commence à se politiser en présidant l'asso des étudiants de l'université Catholique où il étudie la sociologie, puis en devenant le porte parole des jeunesses révolutionnaires de la même université. Il sera activiste du MIR sous le gouvernement d'Allende, puis fera le choix de la lutte armée contre la dictature, il quitte le MIR en 88 et pars en exil dans la clandestinité, en France notamment. Sourires quand je lui demande où il se cachait, Paris, je n'en saurais pas plus. Il passera quelques temps à Cuba, y obtenant son diplôme d'avocat, puis en Afrique en travaillant directement dans les quartiers les plus défavorisés, sans l'appui d'une ONG, raison pour laquelle il sera plusieurs fois détenu, notamment en Afrique du Sud, pour activités d'espionnage supsonnées. Il est de retour au Chili depuis cinq an. Au premier abord, je me dit qu'on va bien s'entendre, ça l'arrange que je parle fort, étant sourd d'une oreille et s'aidant d'un sonotone pour l'autre. Ce trait physique m'a fait vachement moins marrer, quand en croisant un militaire de la marine dans la rue il m'explique: "Eux quand ils me voient, ils me reconnaissent, ils savent qui je suis, moi je les regardent pas, je fais comme si je m'en foutait, parce que se sont eux, les marins qui m'ont torturés dans un bateau aux premiers temps de la dictature. Ils m'ont battus et m'ont balancé de l'électricité dans le corps, c'est là que j'ai perdu 80% de mon ouïe".
Le professeur J donc, depuis que je suis là, me balade de réunion politique en discussion avec des collectifs, pour former le forum.
Le lendemain de mon arrivée, nous sommes allés voir Miguel, coordinateur des radios communautaires de la 5ème région (celle de Valpo). Il transmet ses émissions debout, dans un tout petit appart, plein de documents qu'il ne peux pas ordonner parce qu'il a pas l'argent pour se payer une étagère. Il fonctionne toujours avec des cassettes audios et deux tournes discs. Je suis chaleureusement invitée à venir participer à une émission.
On a discuté avec des étudiants des facs de droits et de journalisme qu'il faut encore convaincre et avec un collectif d'étudiants en filière techniques qui ont un projet d'accompagnement techniques des initiatives menées dans les collines vraiment sympa.
Ce matin quand je passe le chercher pour les activités du jour, je tombe nez à nez avec trois types un peu bizarres au premier abord. Le premier, tout dragueur que tu vois arriver à miles est philosophe politique, il a beaucoup développé la théorie des agences pour ceux qui se rappellent vaguement de leurs cours de 2ème année. Le second est ingénieur informaticien. Le troisième personnage qui porte bonnet, mitaines et barbes prolixe à tout du pauvre bougre. J'apprends autour d'un café qu'il est sociologue et que son aire d'investigation est le cyber espace. C'est un des hacker les plus réputé du pays. De fil en aiguille et de questions idiotes en questions idiotes (pour moi l'informatique c'est de la magie) je découvre un monde inconnu. Dans le cyber espace tout est public et il faut faire avec (cf: facebook), les limites sont floues et à mesure que les chercheurs, penseurs ... se posent des questions éthiques sur la toile, les technologies avances. Il est impossible selon lui de critiquer et de vouloir influer sur le monde du net sans être un utilisateur assidu (du coup j'ai fermé ma gueule et j'ai écouté).
Il existe tout un réseau de hackers, les pays les plus avancés étant l'Allemagne, l'Italie et l'espagne depuis des skattes les 3/4 du temps. Un hacker est le plus souvent de gauche et même anar et quand il passe à l'ennemi, il sort de la communauté des hackers. Il est, de plus, "facile" d'entrer dans les système des banques et de mettre tout par terre mais, c'est dangereux et ce n'est pas par ce biais là qu'ils ont décidé d'agir mais bien par la dénonciation et la vigilance. Cette discussion a encore de beaux jours devant elle.
Bref, je suis dans un bouillon alternatif qui fait du bien et qui m'ouvre des perspectives que je n'avais même pas espérées.
J'ai donc visité entre autres, dans le nord de l'Argentine, "port espérance", sur les bords du fleuve Parana, 5 rues, 2 épiceries et des bandes de jeunes qui zonaient et dont apparament la seule espérance était de se tirer rapidement et un port inateignable, ni en voiture, ni a pieds en raisons des fortes pluies, monnaie courante dans la région. Dix kilomètres au Sud, se trouve le joli village de "port liberté", avec son unique embarcadère et ses deux seules lignes de bus qui passent par là pour le desservir. La "Gorge du Diable", merveille des merveilles (une des premières relations mystiques que nous avons eu, la nature et moi, jusqu'au fond des mes tripes), elle, mérite bien son nom, parce quand t'es au dessus du gouffre t'as qu'une envie, c'est de t'y jeter. Dégustez plutôt:
Mais bon là tout ça c'est déjà un peu vieux (2 mois, quand il fesait encore chaud!), je suis ensuite retournée terminer mon stage dans la ville de "Sainte Marie des Bons Aires", ça:
ou ça, http://i261.photobucket.com/albums/ii61/leito1979ar/momentos/100_1669.jpg
lors des trois semaines où, à cause des feux des paysans de la province du Nord qu'ils ne contrôlait plus, on ne voyaient pas à 200 mètres en raison d'une épaisse fumée. Les touristes ont du croire qu'on se foutait de leur gueule et les potenos n'ont pas dit grand choses parce que pour une fois Kristina, on en est sûr, n'était pas dans le coup.
Je vous met juste le lien parce que je n'ai pas les droits!
Et pourtant c'est bien à regret que j'ai quitté Buenos Aires, il y a une petite semaine déjà. J'ai laissé derrière moi mes amis, mes amours et mes emmerdes comme dit la chanson, une petite vie quoi. Et ça fait tout drôle, j'ai pas encore bien bien réalisé je crois. Ce peuple à la fois très fier et orgueilleux tout en étant très peu sur de lui et de son avenir et dont, je vous contait il y a quelques mois mon amour, va me manquer.
Mon départ à été, je pense, facilité par la promesse solennelle de mon retour une fois mes études finies. Les gens m'ont donc dit: "Hasta luego companera, que te vayas bien, suerte, nuestra lucha sigue aca, y ahora en Francia" (Au revoir compagnonne, bonne chance, notre lutte continue ici et maintenant, en France). J'ai promis, sans faire de vague (je commence à m'habituer à pas trop en faire face à la détermination des argentins), de faire bien attention aux chiliens qui, pour une raison que personne ne connaît exactement, seraient dangereux. Rien que ça! J'ai pas vraiment bronché parce que je sais que cette croyance n'est que le résultat de décennies de propagande contre le pays voisin de chaque côté des Andes de la part des deux gouvernements pour exacerber le sentiment nationaliste.
Le seul truc un peu dur à été de quitter l'hôtel BAUEN. Pour Chilavert, le petit atelier d'imprimerie où j'ai travaillé pendant un an, pas trop de soucis, je sais que quand je reviendrai sonner, on m'ouvrira comme on m'a ouvert tout au long de l'année. Au BAUEN, c'est pas vraiment la même, quand je suis venu dire au revoir, on m'a dit que dans l'aprèm était arrivé l'ordre de délogement, ils ont dix jours pour quitter l'hôtel, de gré ou de force. Retour à la même situation qu'il y a un an, quand je suis arrivée, sauf que là, plus de possibilité d'appel en justice. (Cf post "el B.A.U.E.N. es de todos" d'août 2007). Mais bon je maintient le contact, jusque là rien d'anormal, le jour J est dans 4 jours.
Malgré ça, malgré les amis et la vie que je laisse là bas, je suis partie pour le Chili, m'embarquer dans une nouvelle aventure. Dans la ville de "Val du paradis" dont je ne connaissait rien avant d'arriver de Santiago en bus.
Valparaiso est une petite ville coincée entre un port de pêche en pleine industrialisation et des collines pleines de petites maisons colorées. C'est une des villes patrimoine mondial de l'humanité et lieux de rencontre de la bohème culturelle, artistique et activiste du Chili. Mais ici, l'idée de bobo n'existe pas (sauf peut être un peu sur la "colline joyeuse"), les petites maison collées aux collines ("colline du papillon, colline de l'espérence, colline du baron,...") sont faîtes de bric et de broc et paraissent mal supporter l'hiver qui est bien rude cette année. Je me suis installée dans un grand appart, juste au dessus de la place Équateur, centre des allées et venues nocturnes de la Bohème de Valpo. Il abrite trois autres personnes, un atelier de peinture, un de sérigraphie et les deux Mac imposants de la dessinatrice graphique et du développeur de projets d'énergie alternative qui vivent ici. Je me demandait bien pourquoi il caillait tant que ça dans ma chambre, les mouvements des rideaux m'ont indiqués la fenêtre cassée et jamais réparée, il va falloir s'habituer.
Les habitants de Valpo, sont de plus en plus pauvres à mesure que l'on monte dans la colline. C'est la ville la plus pauvre et avec le plus haut taux de chômage du Chili.
Mon stage consiste en bref, en l'organisation du Forum Mondial du Savoir Appliqué, qui aura lieux du 21 au 24 juillet à Valpo. L'idée est de faire venir des gens pour croiser des projets aussi bien d'énergie alternative, d'ingénierie de l'autogestion, de coopérativisme, de droit alternatif, éducation autonome et médias alternatifs...pour qu'ils puissent être appliqués directement aux populations des collines dans le but final de monter une commune autonome. Pour plus d'info (un peu de pub n'a jamais fais de mal à personne, surtout pour un projet aussi simpas!) je vous invite à faire un tour sur le site, fraîchement traduit en français et à diffuser: foromundial.ulibre.org
J'ai donc été reçu à la gare par Jaime Yovanovic, alias el profesor J et accessoirement mon responsable de stage. Sa bio est impressionnante, il commence à se politiser en présidant l'asso des étudiants de l'université Catholique où il étudie la sociologie, puis en devenant le porte parole des jeunesses révolutionnaires de la même université. Il sera activiste du MIR sous le gouvernement d'Allende, puis fera le choix de la lutte armée contre la dictature, il quitte le MIR en 88 et pars en exil dans la clandestinité, en France notamment. Sourires quand je lui demande où il se cachait, Paris, je n'en saurais pas plus. Il passera quelques temps à Cuba, y obtenant son diplôme d'avocat, puis en Afrique en travaillant directement dans les quartiers les plus défavorisés, sans l'appui d'une ONG, raison pour laquelle il sera plusieurs fois détenu, notamment en Afrique du Sud, pour activités d'espionnage supsonnées. Il est de retour au Chili depuis cinq an. Au premier abord, je me dit qu'on va bien s'entendre, ça l'arrange que je parle fort, étant sourd d'une oreille et s'aidant d'un sonotone pour l'autre. Ce trait physique m'a fait vachement moins marrer, quand en croisant un militaire de la marine dans la rue il m'explique: "Eux quand ils me voient, ils me reconnaissent, ils savent qui je suis, moi je les regardent pas, je fais comme si je m'en foutait, parce que se sont eux, les marins qui m'ont torturés dans un bateau aux premiers temps de la dictature. Ils m'ont battus et m'ont balancé de l'électricité dans le corps, c'est là que j'ai perdu 80% de mon ouïe".
Le professeur J donc, depuis que je suis là, me balade de réunion politique en discussion avec des collectifs, pour former le forum.
Le lendemain de mon arrivée, nous sommes allés voir Miguel, coordinateur des radios communautaires de la 5ème région (celle de Valpo). Il transmet ses émissions debout, dans un tout petit appart, plein de documents qu'il ne peux pas ordonner parce qu'il a pas l'argent pour se payer une étagère. Il fonctionne toujours avec des cassettes audios et deux tournes discs. Je suis chaleureusement invitée à venir participer à une émission.
On a discuté avec des étudiants des facs de droits et de journalisme qu'il faut encore convaincre et avec un collectif d'étudiants en filière techniques qui ont un projet d'accompagnement techniques des initiatives menées dans les collines vraiment sympa.
Ce matin quand je passe le chercher pour les activités du jour, je tombe nez à nez avec trois types un peu bizarres au premier abord. Le premier, tout dragueur que tu vois arriver à miles est philosophe politique, il a beaucoup développé la théorie des agences pour ceux qui se rappellent vaguement de leurs cours de 2ème année. Le second est ingénieur informaticien. Le troisième personnage qui porte bonnet, mitaines et barbes prolixe à tout du pauvre bougre. J'apprends autour d'un café qu'il est sociologue et que son aire d'investigation est le cyber espace. C'est un des hacker les plus réputé du pays. De fil en aiguille et de questions idiotes en questions idiotes (pour moi l'informatique c'est de la magie) je découvre un monde inconnu. Dans le cyber espace tout est public et il faut faire avec (cf: facebook), les limites sont floues et à mesure que les chercheurs, penseurs ... se posent des questions éthiques sur la toile, les technologies avances. Il est impossible selon lui de critiquer et de vouloir influer sur le monde du net sans être un utilisateur assidu (du coup j'ai fermé ma gueule et j'ai écouté).
Il existe tout un réseau de hackers, les pays les plus avancés étant l'Allemagne, l'Italie et l'espagne depuis des skattes les 3/4 du temps. Un hacker est le plus souvent de gauche et même anar et quand il passe à l'ennemi, il sort de la communauté des hackers. Il est, de plus, "facile" d'entrer dans les système des banques et de mettre tout par terre mais, c'est dangereux et ce n'est pas par ce biais là qu'ils ont décidé d'agir mais bien par la dénonciation et la vigilance. Cette discussion a encore de beaux jours devant elle.
Bref, je suis dans un bouillon alternatif qui fait du bien et qui m'ouvre des perspectives que je n'avais même pas espérées.
Je vais donc bien.
2 commentaires:
tres intiresno, merci
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