mercredi 29 août 2007

petite sauterie a casa

Ola todos,
Ce matin il fait beau, bon vivre, et je me suis levé tard.
Comme plusieurs personnes me l'ont demandé, je me suis décidé à mettre des photos de gens, histoire de changer des cartes postales, qui je sais commençaient à lasser, surtout quand on y est pas...aha.
Que dire de plus, sinon que la vie s'écoule paisiblement, beaucoup de travail perso pour les cours, mais c'est un perpétuel combat contre la paresse, dont l'issue est souvent la même...
Cette fin de semaine on va à la plage, paskje rester trop longtemps à San José ça fait chier, por eso vamos a buscar el sol y las palmas.
A vous tous autour du globe, bisous et pura vida.
Moi et Andrea, qui vit ici et s'occupe de l'hostal




Ici, ya Andres et Byron (fils ainé du proprio, en rouge), et en bas on voit Iria et Chechu, deux espagnols qui sont revenus de voyage ya pas très longtemps.


Alors moi, Helmut (allemand mais on dirait pas) et Nelson, ex- policier colombien en mission diplomatique jusken octobre (super sympa, surtout kan y rentre bourré et kil te force à aller boire un autre coup kan t'es trankil devant ta télé, et ke finalement tu te retrouve dans son univers, dans un bar fréquenté par des gros américains en quête de chair fraiche et de putes colombiennes alourdies par le métier...)


Là on revient d'un match de foot, on est sals, et vous pouvez voir de gauche à droite, de haut en bas: Nelson, Iria, Chechu, moi, Andrea, Byron, Julia et Leo (les 5 premiers habitent ici, ainsi ke julia)
Et là c'est pour l'anniversaire de Susanna, une tchèque ki vit aussi ici (avec la tête posée sur l'épaule de Jane, australienne également résidente de l'hostal)

samedi 25 août 2007

trois dernières




voilà, c'est tout, bisou

Kelkes images de Sámara






J'avais pas encore mis ces images sur le blog, donc jle fais, en retard pour changer.


spéciale kacedédi et main sur l'épaule à ceux chez qui la tise est prohibée, je rappelle que ce soir on fait la fête méchamment, barbeuc-binouze en post-teuf, 450m este 50m sur de la U Latina.


Pura vida maes

El B.A.U.E.N. es de todos!

>le droit à travailler dans la dignité contre la droit à la propriété privée:
Traduction par mes soins d'un fly et de l'histoire de qq 150 travailleurs:

"1978: A l'occasion de mondial de foot organisé cette année là a Bs As (en pleine dictature, qui sera la cause de plus de 30 000 disparitions), avenue Corrientes et Callao en plein centre de BsAs, est construit l'hotel BAUEN gârce aux rapports privilégiés qui existe entre son patron, Marcelo IURCOVICH (ha ces russes, aucune morale!) et des membres de la dicature militaire. La Banco Nation (equivalent de la banque centrale ici) va lui préter des milions de pesos pour la réalisation de l'édifice, avec donc, les impôts de la population argentine. Iurcovich ne remboursera jamais ce crédit, ne paiera jamais d'impôts pour son entreprise et s'endettera pour des milions de pesos. Ces manips financières lui permettront de, comme on dit chez nous, "s'en mettre plein les fouilles". En 1997, il vend l'hotel à un groupe chilien au doux nom de Solaris S.A. Celui-ci ayant visiblement les mêmes méthodes que Iurcovich paiera uniquement le premier accompte. Il gèrera l'hotel jusqu'au mois de décembre 2001, puis décrétera la faillite, quasiment ouvertement frauduleuse, laissant 80 familles dans la rue sans explications, ni indemnisations et avec presque plus d'un an de retard de paiement.
2003: Qq ancien travailleurs déséspérés de l'hotel BAUEN vont voir leurs amis qui ont récupéré une petite imprimerie nommé Chilavert (celle ou je bosse). Avec leur aide, celle du MNER (Mouvement National des Entreprises Récupérées, aujourd'hui inexistant en raison des nombreux conflits internes qui l'on parcourus) et de l'IMPA (première entreprise récupérées d'Argentine), il organisent la lutte dans la cantine de Chilavert. (Pour la petite histoire, sous l'oeuil de la caméra de Naomi Klein). Ils decident d'entrer illegalement dans l'hotel et de le remettre en marche sous forme de coopérative. A leur arrivée l'hotel est quasiment vide et de nombreux travaux sont a prévoir. Durant 4 ans ils ont remis en route toutes les installations et réouvert l'hotel. Ils ont crée 150 poste de travail au moment où le pays connaissait sa plus forte crise économique (ils sont maintenant près de 200 et profitent de la reprise économique et surtout du boom touristique actuel). En 4 ans, ils ont démontré que la gestion sans parton était totalement viable et ses résultats sont visibles. L'hotel tourne très bien, recoit surtout des groupe. Chaque jours il y a des réunions, des coloques... c'est un heut lieux de la vie associative. Le 3ème étage est entièrement réservé aux invités/amis de Bauen qui sont hébergés gratuitement.
20 juillet 2007 (4 jours après mon arrivée): La juge Paula Hualde demande aux travailleurs de quitter l'hotel dans un délais d'un mois. Cette décision favorise ceux qui fermèrent l'hotel, fesaient perdre de l'argent à l'Etat, licencièrent les travailleurs et portent atteinte a un des droits constitutionnel : celui de pouvoir travailler librement.
Les travailleurs du BAUEN veulent que toute la société soit consciente que ce jugement va a l'encontre de ses interets: travailler dignement, devellopper nos capacités et créer plus de postes de travail. "Nous ne baisserons pas les bras!"
Ils appellent a l'appui de toutes les organisations politiques, mouvements sociaux, culturel et de tous les autres."
Bon voilà pour le sommaire résumé. Pourquoi je vous raconte tout ça? Déjà parce que ça me paraît interressant, ensuite parce que cette entreprise par son statut d'hotel (donc ouvert sur l'international) est le symbole des difficultés judiciaires que rencontrent les entreprises autogérées ici. Et enfin parce que ce combat rythme pas mal ma vie ici. J'ai assité des conférences de presse (j'ai vu Fernando Solana en vrai de vrai), a des pièces de théatre sur le sujet, vu des films, distribué des fly en manif, et il y a qq jours, j'ai assisté a un concert de soutient devant l'hotel ou il y avait plus de 5000 personnes venues soutenir le BAUEN. Il y a 2 jours je suis même allé a un match de foot (en vrai c'était vraiment parce que ca me branchais mais plutot pour filer un coup de main à un ami francais qui fait un docu sur le sujet) BAUEN contre Burger King! 4-0 pour le BAUEN! Mon pote et moi, en bons européens, on trouvait que c'était tout un symbole mais les muchachos du BAUEN nous ont fait remarquer à juste titre que les 11 mecs d'en face c'était juste des pauvres types exploités et que l'hégémonie Américaine c'était pas vraiment leur faute.
Lundi prochain, dernière grosse manif, jusqu'a la plaza de Mayo juste devant le palais présidentiel. Ils comptent y passer la nuit. Mais j'ai appris hier, que l'ordre de quitter les lieux a été ajourné par la juge et qu'il vont tenter de trouver une solution pour que la coopérative puisse racheter l'hotel. Les travailleurs sont d'accord avec cela à condition qu'il paient l'état et non les ancien duenos.
Pour plus d'info et pour suivre l'actualité du BAUEN, je vous propose d'aller faire un tour sur agoratv.com. Pour les révolutionnaires à la petite semaine qui ne parlerait pas espagnol, il y a une version de toutes les vidéos sous-titrés en anglais et peut être prochainement une version sous-titrée en Francais par mes soins.

Je vous embrasse tous tres fort.
Pauline.

vendredi 24 août 2007

des lézards fainéants, et première grosse chouille a la maison




dernières fotos, et avec ça je tenais à vous dire ke samedi soir on fait une petite sauterie a la maison pour l'arrivée des derniers arrivants. On commencera par salade grillades et bière, et après on commence les alcools forts et les drogues pour finir avec une ptite dizaine de prostituées, ça sera chouette, vous êtes tous invités, entrée gratuite, mais le billet d'avion reste à vos frais.


nous vous attendons nombreux!!

baptiste

anachronique, mais je finis






Voici les dernières photos de manuel antonio, oú l'on voit assez précisément des gros lézards bronzant sur la plage.


a suivre, les photos de playa sámara.


bisous a tous, vous lointains.

jeudi 23 août 2007

Diplomatie et « coupé-décalé », petits fours et poulet aux plantains, champagne et bière…

Bientôt quatre semaines passées à Yaoundé, que j’appréhende peu à peu…
Le dernier post faisait état de mes balbutiants débuts. Je balbutie encore mais certaines habitudes s’installent… Je me sens à l’aise dans de nombreux lieux camerounais, pourtant tres loin de mes petites habitudes françaises… encore que !

Plusieurs choses se sont passées depuis mon installation et mes premiers pas, non que la vie soit trépidante pour un stagiaire en Ambassade débarquant ici mais quand même !

D’abord Yaoundé. Comme je vous le disais précédemment, j’ai rencontré Sébastien, le vigile de ma résidence. Il est génial. Le samedi suivant (il y a deux semaines et demi, déjà), on part donc se promener, après s’être retrouvé devant Score, un supermarché (qui a brulé ya deux jours dailleurs) tout près du rond point de la poste, l’un des plus importants de Yaoundé.
La valse des taxis m’impressionne moins, bien que ceux-ci, virtuoses, arrivent à se frôler sans jamais d’accidents, du moins pas à mes yeux : leurs carrosseries tendent à crier le contraire ! Leur fonctionnement est d’ailleurs très anarchique mais charmant. Le taxi, avide de combler ses places vides klaxonne le client et ralentit. Ce dernier annonce destination et prix. Si ça lui convient, le taxi klaxonne encore, le client peut prendre place, autrement il file. J’aime monter dans ses petites bagnoles où, finalement, on se sent en sécurité, même si le chauffeur perdrait son permis dans la minute en France, et que sa caisse ne passerait pas une fois le contrôle technique.



On visite donc Yaoundé, Sébastien et moi. Le musée national : ancien palais présidentiel, exposition sur les différents peuples autochtones camerounais, intéressante mais impression de vide et de délabrement terrible dans cet endroit… Puis Bastos : le quartier assez chic, avec Ambassades (celle de France n’y est pas) et belles villas mais aussi rôtisseries, bars et boites. On déguste donc un poulet grillé aux plantains, délicieusement frites… Le piment vient relever tout ça, un régal. Nous montons ensuite, à pieds, vers le Palais des Congrès. L’architecture du monstre est impressionnante. Perché en haut de sa colline (Yaoundé en compterait 7, aux dires du guide touristique), l’immense immeuble à l’allure soviétique surplombe la capitale et donne une impression de décalage avec l’environnement alentour, comme la majorité des bâtiments administratifs de Yaoundé d’ailleurs, capitale politique qui semble construite de toute pièce !


La vue est cependant magnifique et nous enchaînons notre visite par une descente vers de nouveaux quartiers : Tsinga, populaire et chaleureux puis la Briquetterie, pauvre, non moins chaleureux mais extrêmement dépaysant. Les maisons, ou plutôt les cabanes et autres cases, s’entassent les unes sur les autres, entrecoupées de minuscules chemins de terre, sur des rues non goudronnées, parfois sans égout. Des odeurs très agréables de grillades à celles de pourriture… On ne s’y sent pas toujours très bien. Un blanc ne peut y venir, seul, la nuit. Enfin, le marché de Mokolo, l’un des plus célèbres de Yaoundé. Sébastien me fait rentrer dans son dédale couvert… Les étalages se succèdent, on a à peine la place de passer. Je me faufile derrière lui, perdant le sens de l’orientation… On finit par sortir du côte opposé à l’entrée, quand j’entends : « Eh ! Il y a des longs couteaux là-bas, et ils n’aiment pas bien la couleur blanche ! » Je me retourne et souris au vendeur…
Cette après-midi en sa compagnie est des plus agréables. Il m’emmène dans ce qu’il connaît de Yaoundé, où il a toujours vécu… Et je l’en remercie.

Autres fait marquants de mon séjour : le film « Paris à tout prix. » Je lis les journées tous les jours pour le boulot donc, forcément, j’avais entendu parler de ce phénomène cameorunais : Joséphine Ndagnou, réalisatrice de téléfilms pour la Crtv, la chaîne publique camerounaise, mais d’abord actrice de séries, réalise son premier long métrage. L’histoire d’une jeune fille, Suzy, qui veut quitter « la galère » et se rendre dans l’El Dorado français, par tous les moyens. Elle paie des trafiquants, s’embarque clandestinement et finit par se prostituer, obtenir un visa de 3 mois et finalement un charter de retour…
Le trait est caricatural. Une scène me choque particulièrement : celle où Suzy et ses amis viennent de s’enfuir d’un resto de Kribi où la note est salée et sont finalement attrapés par la police. Celle-ci leur fait la morale (en gros : gaspillez pas votre energie à partir mais à travailler) et finit par leur donner de l’argent pour retourner à Yaoundé, sous le portrait bienveillant du Président Biya ! Comme si le pouvoir de Biya était aussi bienveillant auprès de ses jeunes délinquants… Mais aussi cette caricature de flics qui emmènent Suzy à Paris : « S’il vous plaît Mme, c’est la loi. S’il vous plaît ! S’il vous plaît ! » Je doute d’un excès de politesse aussi souligné de la part de nos bleus, surtout quand on connaît les descentes effectuées dans certaines écoles de Belleville et ailleurs pour embarquer les sans-papiers…
Le film a, en revanche, le mérite de décrire avec beaucoup de réalisme le quotidien des camerounais, à en juger par les exclamations entendues dans la salle. « Ca c’est le pays !!! » Mais aussi des hurlements de joie, des cris, des rires ostentatoires et autres commentaires affichés… Le cinéma n’est pas une salle tranquille en Afrique. Mais la réaction du public est un signe encourageant. Le film fait salle comble et c’est rare à Yaoundé… Mais je vous reparle dans très peu de temps de Joséphine Ndagnou.

Sinon, le boulot m’intéresse toujours autant. J’attends simplement d’avoir à sortir du bureau. Pour l’instant j’y rédige mes revues de presse et des dépêches diplomatiques. Ma première a été adressée au Ministère aujourd’hui (un résumé des élections)… Les revues de presse sont disponibles en ligne ( http://www.ambafrance-cm.org/rubrique.php3?id_rubrique=50 ) : c’est toute les semaines et les anciennes sont dans « Archive. » J’en ai déjà fait 3, la 4ème est pour demain.
L’Ambassadeur (mon maître de stage, hihi) semble apprécier mon travail, à tel point que j’ai été convié, samedi dernier, à un dîner dans sa résidence.
Journalistes, député, ancien ministre, entrepreneur, Rémi et… la réalisatrice du film dont je vous parlais ! Impressionant… A l’apéritif, je discute avec un Monsieur qui me demande ce que je fais.
Je lui réponds poliment. Puis, quand même, je me permets une question :
« Vous êtes Monsieur ?
- Mr X, député.
- Ah… (blanc-sans mauvais jeu de mots-) et de quelle circonscription ?
- Du Nord.
- Ah… (reblanc) et la campagne s’est bien passée ?
- Oui. On a mené les bons combats.
- D’accord. »
Le plus grand moment de solitude, très drole quand même, sachant que cet « Honorable » me proposera, à la fin du dîner de m’accueillir si l’envie me prend de visiter le Nord du pays. Je change d’interlocuteur, donc, pour me diriger vers un journaliste. Je vais ainsi de personnages en personnages. Je rentre avec des numéros de téléphone… Et des images, commentaires et messes basses plein la tête. Ce milieu est fascinant et très instructif. J’ai fait mine de m’y sentir à l’aise… La preuve : à la question de Mme Ndagnou qui souhaitait connaître mon avis sur son film j’ai répondu poliment : « c’est très intéressant… Les gens réagissaient énormément. » Et, en lui disant au revoir : « Bon courage pour votre film ! »

J’aime souvent mieux ces soirées ou débuts de soirée passées avec Sébastien, à la nuit (ici elle tombe à 18h30, d’un coup brutal). Il m’emmène dans des bars, toujours en terrasse, où la bière coule à flots… On discute de choses et d’autres et j’observe l’animation des rues, les vendeurs ambulants et autres grillades sauvages, mais aussi le flot continu des taxis.

lundi 20 août 2007

Volcan Barva

Nous sommes partis il y à peu (hier) faire une excursion sportive dans les alentours de San José. On cherchait quelque chose à faire pour cette fin de semaine avec un jour férié le Lundi, on à discuter avec Bat et Théa ( une allemande qui vit dans la même maison que moi ) et elle nous à parler d'un volcan pas loin, genre sans trop de touristes. Au bout de 10 minutes de conversation on à dit BANCO. Nous voila donc parti pour l'ascension du Volcan Barva. On avait d'abord pensé rester camper en haut du volcan mais vu qu'il fesait aux alentours de 12° le matin et qu'il est écrit dans le guide que la température peut descendre à 0° la nuit on hésitait un peu. Ajoutez à ça la pluie continue du jour d'avant et on en à rapidement conclu que ce serait une mauvaise idée.
Excursion pour la journée donc ( et quelle journée ! ). Levé à 4h15, 7 ou 8h de marche en tout dans le journée, en montée, en déscente ( forcément ) dans la boue, dans la foret, sous le soleil, sous la pluie...
Mais tout ça vallait la peine, jugez par vous même avec les photos.
Je tiens égallement à préciser que nous n'avons croisé que 9 personnes en tout dans le parc national du volcan, toutes des Ticos. Ca fait du bien.

Et maintenant les preuves que ce volcan est dans les Alpes:


On dirait pas les verts paturages français?



Slalom entre les flaques et la boue

Volcan Barva2

Des photos du parc national, pendant notre assencion du volcan.


Le chemin n'était pas toujours aussi plat mais toujours autant vert et fourni.
On peut vraiment dire qu'on à sentie la force de la nature, c'était tellement fournie qu'on se sentait de trop. Vraiment une très bonne expérience.

C'était plein de très beau arbres, très grands:


Et trés gros:


La classe non?

Et même des fleurs:


Tout un tas de plantes aussi,
Ici c'est de la mousse fine comme de la dentelle:


Des fougères énormes (baptiste fait l'échelle):


Il fait tellement humide que certaines plantes ressemblent à des algues:


Palmier ou fougère?


Appelés "parapluie du pauvres" ces plantes sont vraiment énormes et très solide ( je tient debout dessous... )


De la mousse comme ça partout, et comme la mousse est signe de pureté de l'aire, je vous laisse imaginer le bonheur pour nos poumons après les gaz d'échapement bien noir de San José


Le rayon de soleil de la journée:


Le reste du temps c'était plutot ça, ni au dessus ni en dessous, dans le nuage:


Nous voila au sommet du volcan:


Vue sur le cratère et sa lagune.


Vue de plus bas.


Après tout ça il à fallu redescendre et la pluie m'a pousser à remetre mon appareil dans son sac plastic étanche donc la série s'arrete là. Mais Théa à été plus témeraire et si je choppe ses photos je les posterai.

HA oui et sinon, moins drôle, n'oubliez pas de vous renseigner sur ce qu'il se passe en france. On laisse mourir des gens pour du papier (toilette?): http://lille.indymedia.org/

la nature, encore et encore





vous pourrez constater son exubérance (à la nature), et vous imaginer le bonheur des moustiques découvrant nos belles jambes blanches à portée de trompe.

Vu ke jsuis lancé je continue





Je balance encore et encore, juska plus soif, d'ailleurs jattend k'Eduardo fasse de même avec les phtos prises lors de notre dernière excursion sportive.


voici donc la suite...

bisous a tous